Le dernier film que vous avez vu ou revu

Robin Hood (2010)

En s'attaquant à l'origine de Robin, plutôt qu'à paraphraser les nombreux films sortis depuis les années 30, Scott prenait un pari risqué. Et on ne peut pas dire qu'il ait été complètement convaincant. D'une part à cause d'un rythme bancal, et d'autre part à cause d'une histoire qui sent un peu trop Kingdom of Heaven.

Dernier point négatif, qui est sans doute le plus rédhibitoire: une bande originale complètement foirée, sans imagination, sans thème intéressant. Quetch, nada. Si le compositeur était convaincant que Body of Lies, il se plante complètement dans Robin Hood, en pompant maladroitement partout. Peut être que je porte trop attention au score, mais dieu sait que la musique est importante pour apprécier un film de Scott. La musique de Gladiator a été un énorme succès en posant d'ailleurs un benchmark musical pour le film en costumes (à l'exception de LoTR). Le plantage intégral de Robin Hood gâche complètement le film en n'appuyant pas le découpage rythmique voire même en effaçant l'intensité de certaines scènes. Le génie de Scott à la mise en scène (le film est remarquablement mis en scène et le bluray rend honneur au travail extraordinaire de l'équipe du film) est donc complètement gâché par les erreurs de Marc Streitenfeld, qui n'a pas les épaules de son mentor Zimmer.

Du coup, Robin Hood est dispensable. Certaines choses sont très bien et l'idée générale était intéressante, mais le manque d'originalité rend indigeste un métage qui dépasse les 2h30. Dommage, dommage.

Je suis d'accord avec Aurélien. La musique de Robin Hood m'a rendu fou au cinéma. J'en pouvais plus ! Qu'est ce que c'était niais ><

+1 avec moi.
J'avais été dégouté par ce très mauvais Ridley Scott, il n'avait pas fait aussi mauvais depuis Kingdom Of Heaven ! Le rythme n'est pas bon, le personnage de Russel Crow qui dort comme un gentil toutou au pied de la cheminée de sa Dame est ridicule.
Le film est totalement chapitré de façon monotone et la sauce ne prends pas.
On est tellement loin d'American Gangsters, Gladiator (pour citer ceux avec Russel Crow)

Pour moi c'était Wall Street L'argent ne dort jamais ! c'était bien, mais dommage que la romance soit un peu trop mise en avant, par rapport a l'argent (j'attendais plus sur ce niveaux) et le montage me semble très bizarre !

Uncharted 2.... ha bon c'est pas un film? :P

Pas encore! Sony est en prod de la franchise en ce moment

quelle surprise! et quelle originalité! y aura-t-il un jour une adaptation de jeu en film qui soit bien foutue????? les grands studios passe leur temps a demolire les franchises en estimant qu'il suffit de beaucoup d'action et plein de VFX pour ameuter les foules. je mettrais ma main a coupé que les studio budgetise les adaptations de jeux en fonction du nombre de jeux achetés pour etre sure qu'il rembourseront leur couts juste avec les fans du jeu.

Je ne suis pas contre les adaptations ou les films se déroulant dans l'univers d'un jeu vidéo, le soucis c'est que personne n'a encore vraiment réussi à ne pas salir l'univers, à part Gans dans Silent Hill.

Pour Uncharted, il y a largement la place pour faire une chouette histoire vu que Nathan est une sorte d'Indy mélangé avec Lara Croft. Le soucis c'est que personne n'a peut être vraiment les cojones d'écrire un script intelligent.

Sinon, les derniers films que j'ai vus:

Crash et Dans la Vallée d'Elah de Paul Haggis, qui m'ont tous deux bien remués. Haggis est le maître du drame tout en livrant une mise en scène dynamique et ingénieuse.
Crash est particulièrement bien construit, bien écrit et bien interprété par son casting 5 étoiles, distillant beaucoup d'émotion mais également beaucoup d'espoir. Sans se montrer trop misérabiliste, Haggis dresse des portraits pleins de force. Alors que le réalisateur-scénariste s'attaquait au racisme en général et à LA en particulier dans Crash, il s'attaque au malaise des soldats revenant d'Iraq dans son deuxième long métrage.
Tommy Lee Jones porte ce drame aux relents de thriller du début à la fin. Certaines scènes sont terribles et rendent le spectateur mal à l'aise.
Deux excellentes pelloches, donc, que je vous conseille de voir de toute urgence si vous ne l'avez pas encore fait.

Dernier film vu récemment: l'Immortel de Richard Berry.
Après avoir vu La Boîte Noire en 2005, je m'étais dit que finalement Berry-le-réalisateur avais peut être également du talent dans le film de genre contrairement à ses comédies si françaises, si niaises et si inintéressantes (moi, césar... était, soyons francs, une comédie banale et passablement ennuyeuse). Avec son ambiance léchée, son scénar malin et sa mise en scène attrayante, la Boîte Noire se mettait au rang des bonnes productions américaines. Comme pour ses deux précédents longs, Berry trouve du pognon chez Europa pour adapter le roman éponyme de Ghisbert. Je n'ai pas lu le livre, mais le film est assez mauvais. L'histoire en elle même est une classique histoire de mafia et de vengeance. Rien de bien original, si ce n'est que ça se passe à Marseille. L'interprétation est plutôt mauvaise avec un Jean Réno usé et usant et une jeune première qui devrait faire de la couture plutôt que du cinéma. Kad est relativement correct en grand méchant, mais pas dans toutes les scènes. Berry a voulu sortir un peu du carcan de polar pour mettre quelques touches sociales, ethniques ou familiales, mais elles sont complètement incongrues vu le rythme du film, bien trop rapide. Le montage hypercut est au mieux fatiguant, au pire ridicule. Certes les quelques fusillades sont efficaces avec quelques images "Manniennes" mais certains accélérés de voitures sont ridicules. Ca doit être une maladie Europa, on retrouve ces stupides choix techniques dans le Transporter 3 ou Taken.
Au final, malgré un casting de premier ordre, malgré une belle image et un score de Klaus Badelt, l'Immortel reste un polar de deuxième zone, bien loin d'un film de Marchal ou Boukhrief.

Le nom de la rose (1986),Jean-Jaques Annaud n'a jamais fait mieux depuis et avant. Et comme il le dit dans la longue mais passionnante interview dans les bonus (du DVD français), c'était la rencontre entre un réalisateur et un livre comme il n'en arrive qu'une fois dans une vie. Je l'avais vu pour la 1ere fois quand j'avais 13 ans et ça fait partie des films qui ont forgé mon imaginaire.

Demolition man:
Parfait film de dimanche soir, divertissant et pas prise de tête.
Bien vu le coup du président Schwarzenegger.

ahhh ...les 3 coquillages

ha ha ha, Demolition Man, un grand Stallone ! Avec Sandra Bullock pas encore super star et Wesley Snipes pas encore fauché. Je lui préfère Judge Dredd, mais y a de très bonnes choses dans ce film (enfin bonnes, on se comprend)

rah mythique demolition man...john spartan et simon phoenix quoi^^Tu m'as donné envie de le revoir tiens ^^

Centurion de Neil Marshall

Après un Doomsday décevant, Neil Marshall revient plus en forme que jamais pour son film épique de chasse à l'homme. Gore et sang en pagaille, rythme soutenu, scènes efficaces, montage appréciable, Centurion est une série B exemplaire d'efficacité. L'histoire en elle-même, qui raconte le destin d'une légion romaine décimée par les Picts en Ecosse et la chasse des survivants est très originale, même si les thématiques sont récurrentes chez le réalisateur anglais. Comme dans ses 3 précédents longs métrages, la femme a toute sa place. Ici interprété par Olga Kurylenko (Hitman, Quatum of Solace), le sexe n'a rien de faible. Impitoyable pisteuse, elle a sans doute le rôle le plus intéressant de tout le métrage. Le père Marshall se permet même quelques références aux canons du film de chasse forestière, tels Deliverance ou Rambo.

Amis de la gerbe de sang et du membre volant, amis des ambiance sombres et crasseuses, amis des séries B que ne renierait pas John Carpenter, amis trop longtemps déçus du traitement fait au 13ème Guerrier et nostalgiques de certains aspects de Braveheart, déliez votre bourse pour vous procurer le bluray de Centurion, il saura vous ravir.
Force et Honneur.

Persépolis, enfin !

Excellent film d'animation, dont le BRD est à la hauteur. Une histoire pour adultes prenante et terrible (une vision d'un Iran pensant se libérer et sombrant dans une pseudo démocratie religieuse hypocrite, violente et intolérante), un doublage vocal VF relativement convaincant et une animation qui, tout en restant dans le style Sinapi, se trouve agrémentée de très jolis plans.

Merci Aurélien pour tes critiques, j'aime beaucoup.
J'ai vu Centurion du coup pas mal en effet.

Mon dernier Piranha 3D:
Et bien oui j'ai été bluffé. Un des meilleur film de genre quand j'ai pu voir depuis fort longtemps. Tout les clichés sont là mais ils sont bien tous exploités à mon gout. Et un film de boucherie premier degré ultra efficace et maitrisé. On découvre des scènes de miam miam inédites, un régal ^^.
Et tout ça sans la torture qui commence à me faire vraiment chier, des films d'horreur récent.
Donc merci le petit français Alexandre Aja

pour moi c'était The Social Network ! c'était franchement sympa... Mais si c'est vraiment au mec, ben il a pas de potes, et le mec est franchement un sale con !

Kaboom, Greg Araki, un gros delir bien poilant a condition de le prendre au 10eme degré. Vu en numérique avec plein de couleurs super flashy, c'etait beau. Mais beaucoup moins subversif que ce que laissait penser la bande-annonce, pas de zézette ou de chatte, que des seins et des pairs de fesses

Social Network, !!!!!!!!!!!!!!!! probablement le film le plus réussi de Ficher!! Tout est parfaitement maitrisé, les acteurs sont tous formidables, les dialogues, le scénar, la mise en scene, le montage, tout tout tout est géniallement orchestré! Et enfin, très peu d'effet esthétisant, si ce n'est l'utilisation (justifiée) d'une réduction artificielle de la focale (la plus part du temps, il n'y a que la ou les personnes qui parlent qui sont net tout le reste est flou, créant parfois un effet bizarre avec le perso d'arrière plan net celui au milieu flou et celui au premier plan net)
ils parlent énormément mais on ne perd jamais le fils et on est tenu en haleine jusqu'à la fin!!! je suis sur le cul!

tu ne trouve pas qu'il parle super vite dans Social Network ?

si mais ça ne m'a pas dérangé

Los Lunes al Sol (2002)

Un excellent film social, qui traite du chômage et ses conséquences, la famille, l'amitié et tout plein de petites considérations humanistes. C'est un film espagnol, magistralement porté par Javier Bardem et Luis Tosar (entre autres) qui ont pour l'occasion récupéré un Goya chacun.

Micmacs à Tire-L'Argiot (2009).
On se rappelle la suffisance de Jeunet à l'occasion de la sortie de son film, mais on se rappelle aussi le four qu'il s'est pris tant au niveau national qu'au niveau international. D'après ce que j'en ai vu, la perte sèche d'exploitation en salles doit être d'au moins 20 millions d'euros. Jeunet sait manier une caméra et s'entourer d'excellents techniciens mais ça ne fait pas un film.
Les acteurs semblent s'amuser, pas nous. Les plans sont suffisants, grossiers et les clins d'oeils tout autant appuyés que ridicules à Amélie n'aident pas à rentrer dans une histoire sympathique sur le papier mais passablement inintéressante sur grand écran. Les second rôles sont insipides, Danny Boon fait penser à Mr Bean... De temps en temps on entrevoit une vague poésie mais l'ensemble est tellement lourd qu'on se fait tout de même bien chier. J'ai ri 2 ou 3 fois et regretté de pas avoir bien bouffé avant, ça aurait fait un bon somnifère.
5 ans se sont écoulés entre un Long -très long- Dimanche de Fiançailles j'espère qu'on ne reverra pas de Jeunet "blockbuster" avant plus longtemps.

Océans (2009)
Je suis un gros blazé, un vieux con. Je me fais de plus en plus chier au cinéma ou devant mon LCD. Le cinéma ne me fait plus beaucoup bander. C'est comme les FPS: les budgets augmentent mais le contenu diminue.
Et puis d'un seul coup, on se prend une bonne grosse claque qu'on n'a pas vue venir. 80 millions de dollars en poche, Jacques Perrin peut tourner son docu océanique, après un épatant Peuple Migrateur il y a presque 10 ans. A l'instar de ce dernier, c'est un docu raconté comme à la fois une fable, une aventure, un drame, un film d'action... Si le domaine du documentaire animalier est la chasse gardée de National Geographic et la BBC pour les petits formats, Perrin est Dieu le Père pour les longs métrages. Si Le Peuple Migrateur vous a transporté, Océans vous noiera de plaisir. Les conditions de vision n'étaient pas bonnes (vol Madrid-Oslo), l'écran du PC pourri mais la seule chose à dire c'est WOOAAAHHH. Deux voisins de siège avaient les yeux fixés sur mon écran et l'un d'eux m'a demandé le nom du film... Océans est extraordinaire, onirique, terrifiant, d'une beauté inimaginable. C'est un tour de force technique, une réflexion sur l'environnement nettement moins pompeuse (en sus d'être parfois erronée) qu'un Home et un vrai film. L'ambition de la mise en scène, les choix de montage et rythme et l'efficacité qui en résulte placent sans difficulté Océans au Panthéon du documentaire. A posséder absolument en HD pour regarder sur son graaand écran.

Predators (2010)
Ca fait 10 ans que Rodriguez a pondu ce script de Predators, qu'il devait lui même réaliser. John Davis (prod des deux premiers) et la Fox avaient dit non.
2010, Predators sort enfin, produit par Rodriguez et réalisé par Nimrod Antal à qui l'on doit 2 productions de chez Screen Gem dont le très transparent mais solidement réalisé Blindés. Le film se situe dans l'esprit du Predator de Mc Tiernan, en reprend les codes, la bande originale (bien retravaillée par John Debney) et même quelques dialogues. Malheureusement, le film d'Antal n'arrive pas à recréer les climax si efficaces et terrifiants du film de McT, qui en avaient fait un classique toujours efficace 23 ans plus tard. Predators file tout de même un peu de tension et quelques plans très efficaces. Il reste tout de même une série B à 40 millions de dollars, bardée d'effets spéciaux dont certains sont très très très pourris, quelques bonnes idées et la satisfaction de voir que l'esprit Predator est bien là. Sans être aussi imposant que Schwarzie, Adrian Brody assure de manière surprenante en Mercenaire et sa prestation physique de premier ordre donne envie de le revoir dans des rôles plus explosifs que ce à quoi il nous a habitué.
Sans être une réussite absolue, ce Predators ne salit pas sa licence et se laisse voir avec plaisir pas les fans du xénomorphe anthropoïde.

Moi je viens de matter Professeur Layton et la diva eternelle un long metrage animé sur l'univers de la désormais célèbre suite de jeux video DS Professeur Layton. J'ai trouver le film très simpa, très fildèle a l'univers du jeu vidéo. Scénario un poil fantastique comme pour les jeux, bonne anim un peu de 3d, les fan du jeu devraient apprécier ^^

Jonah Hex

DC comics, Legendary et Warner, ça pouvait laisser augurer de bonnes choses. Jonah Hex est un chasseur de prime dotés de quelques pouvoirs indiens, il est en quète de vengeance pour le meurtre de sa femme (indienne, on ne le comprend que dans le dernier tiers du film alors que ça explique pas mal de choses) et de son gamin. Un plantage intégral au box office plus loin, Jonah Hex débarque en BluRay. Le casting est chouette: Josh Brolin, John Malkovich et Mega Fox. Adaptation du comics éponyme, le film est une espèce de western fantastique à la sauce Wild Wild West (le film). Malheureusement, Jonah Hex est complètement raté. En seulement 1h21, on a le temps de s'emmerder de se demander ce qu'on voit, de se demander pourquoi Taylor et Neveldine n'ont pas réalisé le film dont ils ont écrit le scénario. Le rythme hyper rapide fait l'impasse sur tous les potentiels enjeux de l'histoire. On ne s'attache à personne car il n'y a pas de temps d'exposition. Il manque une bonne demi heure au métrage pour nous laisser le temps de nous imprégner de l'univers. On tire à tort et à travers, avec des VFX parfois réussis parfois complètement pourris... Jonah Hex est une mauvaise série B de luxe qui n'a rien pour convaincre si ce n'est un chouette boulot de Mastodon à la BO. La licence, pourtant prometteuse est ici quasi violée. Ne perdez pas votre temps, Jonah Hex est dispensable.

Killers

Encore un film qui n'a pas fait d'étincelles au box office. Porté par Aston Kutcher et une Katherine Heigl plus désirable que jamais, Killers est une comédie d'action sexy sur fond d'espionnage également marquée par la présence excellente de Tom Selleck qu'on ne vois pas si souvent au cinéma. Derrière la caméra, Robert Luketick, dont les deux derniers films (21 et The Ugly Truth) furent des succès.
Au final, le métrage est nettement meilleur que ce à quoi la bande annonce nous préparait. Si l'humour n'est parfois pas des plus fins, le rythme soutenu de l'action, les scènes de combats parfaitement orchestrées et diablement efficaces, un couple d'acteurs qui marche plutôt bien, emportent complètement l'adhésion.
Une bonne petite comédie d'action qu'il serait dommage de mettre à la poubelle sans l'avoir vue. J'attends de voir le film avec Tom Cruise pour émettre une comparaison adéquate mais d'après ce que j'en ai vu et entendu, je pense que Killers se place largement au dessus de Knight and Day.

Splice (2010, Vincenzo Natali)

Natali prend son temps pour tourner et souvent il fait mouche. Splice, co-production franco-canadienne avec des bouts de Joel Silver et Del Toro, ne déroge pas à la règle. Dans le domaine du clonage/essai génétique, bioéthique peu de films sont aussi réussis que Splice.
Thriller fantastique et légèrement horrifique, Splice pose une foi de plus les questions de la génétique et d'une certaine forme de clonage (ou mix génétique dans ce cas) pour régler les problèmes de l'homme. Les deux héros sont coupables mais pas monstrueux et, sous le film fantastique, traîne une petite histoire psychologique. Splice se joue des genres (thriller, horreur, drame) avec brio, porté par une imagerie fantastique. La scène d'ouverture, filmée grand angle est d'une puissance formelle exemplaire et l'ensemble du métrage se tient très bien. Je pense qu'il y a quelques personnes ici (de BUF & Mac Guff) qui ont contribué au projet, bravo c'est excellent. La bande originale (qui rappelle le Labyrinthe de Pan ou Saint Ange) contribue à installer l'ambiance froide du métrage.

Le bluray est excellent et rend honneur au boulot visuel. A découvrir.

How to Train Your Dragon

Dreamworks livre ici une partition visuelle étonnante pour un film d'aventure dont la fin un peu "adulte" est surprenante. Action et humour sont au rendez-vous de cette excellente production dont la suite est prévue pour 2013.

Toy Story 3

Un peu lent à se mettre en place, le film de Pixar gagne en intensité tout au long du métrage pour terminer dans l'émotion. Un très chouette film d'animation porté par une bande originale exceptionnelle, comme on n'en avait pas entendu depuis le John Williams des années 80. Un bluray à posséder impérativement.