Question bêtes sur le flame
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Question bêtes sur le flame
Quelles sont les diffèrence entre un flamiste et un compositeur ?(formation, competences, applications, salaires,...)
Ce genre de machine n'est elle pas désuète ?
Pourquoi ca coute si cher ?
Mathieu
Ce genre de machine n'est elle pas désuète ?
Pourquoi ca coute si cher ?
Mathieu
Re: Question bêtes sur le flame
Je vais essayer de repondre, les flamistes qui lisent reprenez moi si je me trompe.
En fait au niveau de la formation de base, c'est la même. un key reste un key, un track sera toujours un track, etc...
En ce qui concerne la formation à la machine Flame, je ne crois pas qu'il y ai des ecoles qui forment à ces outils.
Pour les competences, elles sont equivalentes (cf: voir "un key reste un key, un track sera toujours un track, etc...").
Pour le salaire, le graphiste Freelance est payé + cher car il y a moins de flamistes que de compositeurs (donc un rapport d'offre et de la demande fait monter les prix).
Cette mahine est loin d'etre desuette car elle est aujourd'hui encore la plus rapide. Ce qui justifie son prix.
De plus c'est une machine faite pour les effets speciaux, et uniquement pour ça. Donc elle sait tout gerer dès qu'on lui donne des images (confo, montage, librairie,versionning...)
contrairement à un PC qui a besoin de plusieurs softs pour tout faire. C'est tout en 1, et ça va beaucoup plus vite.
Pour prendre une métaphore.
Tu prends 2 conducteurs. Le premier conduit une voiture de Rally (le compositeur sur son PC superboosté) et le second une F1 (le flamiste sur discreet). regarde qui va plus vite, qui est payé + cher...pourtant ils conduisent tous les deux avec un volant, un accelerateur, un frein.
J'espere avoir repondu à ta question.
P.S: par contre sur une route sinueuse, y a pas photo, le mec de F1 il galere...mais ça c'est une autre histoire.
En fait au niveau de la formation de base, c'est la même. un key reste un key, un track sera toujours un track, etc...
En ce qui concerne la formation à la machine Flame, je ne crois pas qu'il y ai des ecoles qui forment à ces outils.
Pour les competences, elles sont equivalentes (cf: voir "un key reste un key, un track sera toujours un track, etc...").
Pour le salaire, le graphiste Freelance est payé + cher car il y a moins de flamistes que de compositeurs (donc un rapport d'offre et de la demande fait monter les prix).
Cette mahine est loin d'etre desuette car elle est aujourd'hui encore la plus rapide. Ce qui justifie son prix.
De plus c'est une machine faite pour les effets speciaux, et uniquement pour ça. Donc elle sait tout gerer dès qu'on lui donne des images (confo, montage, librairie,versionning...)
contrairement à un PC qui a besoin de plusieurs softs pour tout faire. C'est tout en 1, et ça va beaucoup plus vite.
Pour prendre une métaphore.
Tu prends 2 conducteurs. Le premier conduit une voiture de Rally (le compositeur sur son PC superboosté) et le second une F1 (le flamiste sur discreet). regarde qui va plus vite, qui est payé + cher...pourtant ils conduisent tous les deux avec un volant, un accelerateur, un frein.
J'espere avoir repondu à ta question.
P.S: par contre sur une route sinueuse, y a pas photo, le mec de F1 il galere...mais ça c'est une autre histoire.
Re: Question bêtes sur le flame
:lol!:
j'adore tes metaphores...
pour rajouter quand meme une petite precision...
le graphiste flamiste gagne plus mais meurt plus jeune car il dort moins et est tres stresse. Les journees de Flame sont tres chers donc les reals sont souvent assis derriere le graphiste et lui mettent la pression 20h d'affile...c'est pas facile.
ps: moi je fais du photoshop sur image fixe...et j'ai une AX pourrie....c'est lie ??
j'adore tes metaphores...
pour rajouter quand meme une petite precision...
le graphiste flamiste gagne plus mais meurt plus jeune car il dort moins et est tres stresse. Les journees de Flame sont tres chers donc les reals sont souvent assis derriere le graphiste et lui mettent la pression 20h d'affile...c'est pas facile.
ps: moi je fais du photoshop sur image fixe...et j'ai une AX pourrie....c'est lie ??
Dernière édition par le Mar 4 Sep 2007 - 19:25, édité 1 fois
Swoop- Big Boss
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Re: Question bêtes sur le flame
:lol!: :SG6:
Swoop- Big Boss
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Re: Question bêtes sur le flame
je suis d'accord avec swoop j'adore les meta........ mais si ca se trouve il vive plus longtemps....
KamS- Chef de partie
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Re: Question bêtes sur le flame
ceux qui viennent en 103sp ?
Swoop- Big Boss
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Re: Question bêtes sur le flame
hein quoi 103sp?
KamS- Chef de partie
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Re: Question bêtes sur le flame
Mais alors, qui roule à vélo dans votre histoire?
J'ai encore rien compris moi...
J'ai encore rien compris moi...
leamilly- Assistants
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Re: Question bêtes sur le flame
Merci pour les réponses et les métaphores, j'y vois plus mieux.
Mathieu
Mathieu
Re: Question bêtes sur le flame
a par ca si on aimerais ce lancer dans le compositing ... (et devenir pro plus tard) quel soft on devrait choisir ?? shake, nuke, fusion, after effect, houdini halo, combustion, ....?
KamS- Chef de partie
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Re: Question bêtes sur le flame
Tous...
Plus sérieusement si tu t'en sors bien avec un les autres ce n'est pas la mort, y'en a qui fonctionnent en nodal d'autres non, c'est surtout ca la premiere grosse difference que je vois. Je penses que après c'est une question d'habitude.
Pour travailler dans des grosses boites je dirais shake et nuke, mais bon ca veut pas dire grand chose.
Moi je fais du after et y a deja de quoi bien se marrer.
Mathieu
Plus sérieusement si tu t'en sors bien avec un les autres ce n'est pas la mort, y'en a qui fonctionnent en nodal d'autres non, c'est surtout ca la premiere grosse difference que je vois. Je penses que après c'est une question d'habitude.
Pour travailler dans des grosses boites je dirais shake et nuke, mais bon ca veut pas dire grand chose.
Moi je fais du after et y a deja de quoi bien se marrer.
Mathieu
Re: Question bêtes sur le flame
moi perso je susi un grand fan de Fusion et nuke he he ... shake j'aime bien mais comprend pas bien la filiosophie.... surtout des rotoshape et ds quickshape...
KamS- Chef de partie
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Re: Question bêtes sur le flame
Moi je dirai que la voiture compte beaucoup mais c'est surtout le conducteur qui fait la différence...... ( et l'essence qu'on met dedans aussi si vous voyez ce que je veux dire ).....
Et puis pour être tout à fait honnête le flamiste à un avantage, c'est que pas mal de gens sont aux petits soins pour que la séance dur le moins longtemps, pour des raisons de coûts et de turn over sur les machines car on travail souvent en flux tendu (surtout en pub), d'ou les cadences infernales.
Donc rare sont les flamistes qui font leur roto par exemple ( d'ailleurs je ne pense pas en connaitre ....).
De plus quand un flamiste commence à travailler la logique voudrai que la plupart des éléments soit en place afin de se concentrer sur la partie vraiment artistique du taff...( bien que cela ne soit pas souvent les cas en vérité).
Bref Flamiste c'est cool et VIP mais fô pas avoir un rencard avec sa grand mère.....
Et puis pour être tout à fait honnête le flamiste à un avantage, c'est que pas mal de gens sont aux petits soins pour que la séance dur le moins longtemps, pour des raisons de coûts et de turn over sur les machines car on travail souvent en flux tendu (surtout en pub), d'ou les cadences infernales.
Donc rare sont les flamistes qui font leur roto par exemple ( d'ailleurs je ne pense pas en connaitre ....).
De plus quand un flamiste commence à travailler la logique voudrai que la plupart des éléments soit en place afin de se concentrer sur la partie vraiment artistique du taff...( bien que cela ne soit pas souvent les cas en vérité).
Bref Flamiste c'est cool et VIP mais fô pas avoir un rencard avec sa grand mère.....
Ramirez- 1er commis
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Date d'inscription : 12/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
C'hui vraiment une quiche en Ortographe......
Ramirez- 1er commis
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Date d'inscription : 12/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
ne t'inquiette pas tes pas le seul -> moi
KamS- Chef de partie
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Date d'inscription : 12/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
ca crane ca crane....
Swoop- Big Boss
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Date d'inscription : 05/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
l'equipe roto utilise Silhouette roto?? -> comme weta....
KamS- Chef de partie
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Date d'inscription : 12/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
Pour revenir à la question initiale et donner un éclairage personnel à l'utilisation de ce soft:
D'abord il faut avouer que la plupart des flamistes font seulement du compositing et très peu de motion graphisme (du fait du coût, des délais ou de l’outil à proprement parler). En effet, ce n’est pas très pratique de se promener en F1 dans les ruelles sinueuses de l'île St Louis.
Mais revenons à certains points, le flamiste vu comme le VIP des graphistes me dérange profondément bien qu’il y ait eu une période de graphistes star au début des années 90 qui furent annonciateurs d’une nouvelle génération sur after effect. Beaucoup d’entre eux ont initiés réellement de nouvelles méthodes de fabrication d’images et rapprochés les arts appliqués à la vidéo, grâce évidemment à l’émergence de l’image numérique. Je pense entre autres à Eve Ramboz, Philippe Soeiro, Zapdan, Michel Charpentier, Bruno Maillard pour ne citer qu’eux… Précurseurs de talent, ils ont ouvert des portes dont nous profitons tous aujourd’hui. Enfin, s’il est vrai qu’une attention particulière est apportée au confort du graphiste en séance cela vient uniquement du coût d’une séance sur cette station (souvent de l’ordre de 400 euros l’heure, à moduler). Mais il va de soit que sur n’importe quelle machine l’attention devrait être identique (étalonnage des écrans, etc.…).
Sinon, je voudrais casser ici cette idée qu'il y a les graphistes d'un côté et le flamiste de l'autre. Le flamiste ne fait pas cette distinction. Certes, beaucoup de réals en publicité notamment, font appel au flamiste parce qu'il recherche un interlocuteur privilégié en compositing pour sa vocation à donner des propositions techniques, artistiques ou à sa manière singulière de choisir un angle d'attaque (un point de vue) et peut être une façon différente de regarder l'image (globale, détails, etc.). De la même manière, il a sa monteuse ou monteur. Mais qu'on ne s'y trompe pas. Cette position provient à la fois d’une spécificité historique en postprod (Edit Box -Harry-henry-, Flame, smoke) mais résulte aussi de sa formation.
Historiquement, le flame – précurseur dans la confection haut de gamme des trucages - jouit de cette position dominante sur les autres soft et les producteurs le placent toujours sur un piédestal actuellement fragilisé du fait d’une réalité économique ténue et de délais incompressibles. Avouons qu’il demeure aujourd’hui l’outil le plus adapté à la finalisation d’un film en publicité ou en clip.
Mais sur le fond, l’une des différences entre un graphiste et un flamiste, puisque c’est ici le débat, trouve souvent son origine selon moi dans sa formation : généralement un flamiste aura appris son métier comme assistant. C'est un apprentissage singulier de la grammaire et la conjugaison (dans le même temps, apprendre un soft et les techniques de trucages et également l’attitude en séance avec les clients). Durant une période plus ou moins longue, cette genèse à l'avantage de permettre au graphiste assistant de se frotter à divers seniors ayant chacun un passé riche et des techniques diverses. Là il est également question de point de vue face à l’image ; comment aborder un trucage, quelle identité lui donner, les points de forces ou de faiblesses du cadre, l’interprétation. C’est aussi une relation de maître à élève classique qui fonctionne seulement si le duo accepte ce genre d'initiation.
Personnellement, j'aime cette idée que notre métier puise aussi son origine dans l'artisanat. Certes notre outil «moderne» et généraliste ne ressemble pas au marteau du charpentier, à la pelle du boulanger ou bien même au ciseau de l’ébéniste, mais nous sommes des artisans qui expriment leur talent par la technique de la main gouvernée par notre propre subjectivité. Cette idée fait autorité même si l’on se dirige doucement vers une industrialisation de notre métier. C’est pourquoi je voulais intervenir dans ce débat. Car l’idée de différencier les graphistes selon leur soft est révolue et la notion anglosaxone de Flame-artist signifierait peut être quelque chose si l’on disait Flame Artisan, bien que ces distinctions soient galvaudées aujourd’hui.
Enfin, je suis très attaché à l’idée d’accompagnement entre senior et junior.
Voilà ce que je pouvais écrire sur le flamiste, cela n’engage que moi.
Avis qui ne se confronte peut être qu’à ma propre expérience.
D'abord il faut avouer que la plupart des flamistes font seulement du compositing et très peu de motion graphisme (du fait du coût, des délais ou de l’outil à proprement parler). En effet, ce n’est pas très pratique de se promener en F1 dans les ruelles sinueuses de l'île St Louis.
Mais revenons à certains points, le flamiste vu comme le VIP des graphistes me dérange profondément bien qu’il y ait eu une période de graphistes star au début des années 90 qui furent annonciateurs d’une nouvelle génération sur after effect. Beaucoup d’entre eux ont initiés réellement de nouvelles méthodes de fabrication d’images et rapprochés les arts appliqués à la vidéo, grâce évidemment à l’émergence de l’image numérique. Je pense entre autres à Eve Ramboz, Philippe Soeiro, Zapdan, Michel Charpentier, Bruno Maillard pour ne citer qu’eux… Précurseurs de talent, ils ont ouvert des portes dont nous profitons tous aujourd’hui. Enfin, s’il est vrai qu’une attention particulière est apportée au confort du graphiste en séance cela vient uniquement du coût d’une séance sur cette station (souvent de l’ordre de 400 euros l’heure, à moduler). Mais il va de soit que sur n’importe quelle machine l’attention devrait être identique (étalonnage des écrans, etc.…).
Sinon, je voudrais casser ici cette idée qu'il y a les graphistes d'un côté et le flamiste de l'autre. Le flamiste ne fait pas cette distinction. Certes, beaucoup de réals en publicité notamment, font appel au flamiste parce qu'il recherche un interlocuteur privilégié en compositing pour sa vocation à donner des propositions techniques, artistiques ou à sa manière singulière de choisir un angle d'attaque (un point de vue) et peut être une façon différente de regarder l'image (globale, détails, etc.). De la même manière, il a sa monteuse ou monteur. Mais qu'on ne s'y trompe pas. Cette position provient à la fois d’une spécificité historique en postprod (Edit Box -Harry-henry-, Flame, smoke) mais résulte aussi de sa formation.
Historiquement, le flame – précurseur dans la confection haut de gamme des trucages - jouit de cette position dominante sur les autres soft et les producteurs le placent toujours sur un piédestal actuellement fragilisé du fait d’une réalité économique ténue et de délais incompressibles. Avouons qu’il demeure aujourd’hui l’outil le plus adapté à la finalisation d’un film en publicité ou en clip.
Mais sur le fond, l’une des différences entre un graphiste et un flamiste, puisque c’est ici le débat, trouve souvent son origine selon moi dans sa formation : généralement un flamiste aura appris son métier comme assistant. C'est un apprentissage singulier de la grammaire et la conjugaison (dans le même temps, apprendre un soft et les techniques de trucages et également l’attitude en séance avec les clients). Durant une période plus ou moins longue, cette genèse à l'avantage de permettre au graphiste assistant de se frotter à divers seniors ayant chacun un passé riche et des techniques diverses. Là il est également question de point de vue face à l’image ; comment aborder un trucage, quelle identité lui donner, les points de forces ou de faiblesses du cadre, l’interprétation. C’est aussi une relation de maître à élève classique qui fonctionne seulement si le duo accepte ce genre d'initiation.
Personnellement, j'aime cette idée que notre métier puise aussi son origine dans l'artisanat. Certes notre outil «moderne» et généraliste ne ressemble pas au marteau du charpentier, à la pelle du boulanger ou bien même au ciseau de l’ébéniste, mais nous sommes des artisans qui expriment leur talent par la technique de la main gouvernée par notre propre subjectivité. Cette idée fait autorité même si l’on se dirige doucement vers une industrialisation de notre métier. C’est pourquoi je voulais intervenir dans ce débat. Car l’idée de différencier les graphistes selon leur soft est révolue et la notion anglosaxone de Flame-artist signifierait peut être quelque chose si l’on disait Flame Artisan, bien que ces distinctions soient galvaudées aujourd’hui.
Enfin, je suis très attaché à l’idée d’accompagnement entre senior et junior.
Voilà ce que je pouvais écrire sur le flamiste, cela n’engage que moi.
Avis qui ne se confronte peut être qu’à ma propre expérience.
seamuse- Nombre de messages : 40
Age : 50
Localisation : Paris - Liège
Date d'inscription : 21/09/2007
Re: Question bêtes sur le flame
Pour relancer un peu le débat, j'aurai le même genre de question mais concernant Inferno !
Quelles sont les différences entre Flame et Inferno, voir même pour aller plus loin, entre Flame, Smoke et Inferno !
merci d'avance pour vos réponses
Quelles sont les différences entre Flame et Inferno, voir même pour aller plus loin, entre Flame, Smoke et Inferno !
merci d'avance pour vos réponses
Lostini- Nombre de messages : 33
Age : 41
Localisation : Paris
Date d'inscription : 09/10/2007
Re: Question bêtes sur le flame
ALLEZ CHERCHE SEAMUSE VIIIIIIIIIIIIIITE !!!!!
Swoop- Big Boss
- Nombre de messages : 7027
Age : 44
Localisation : Montreal
Date d'inscription : 05/06/2007
Re: Question bêtes sur le flame
c'est drôle j'aillais posé la même question en relisant le
texte de seamuse he he
texte de seamuse he he
KamS- Chef de partie
- Nombre de messages : 2581
Age : 44
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 12/06/2007
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